Le cuir

Mes aventures lors du travail du cuir

Moi et le cuir

Mon histoire avec le cuir remonte à loin, voire très loin, parce que bien avant ma naissance. En fait, je pourrais presque dire que le cuir fait partie de mes gènes.
Le cuir est presque une affaire de famille: mon grand père, déjà, en vendait.
Je ne suis pas un professionnel du cuir, étant plutôt photographe, mais pas que… .
De mon enfance, j’ ai gardé la nécessité de travailler de mes dix doigts. La photographie, du moins telle que je la concevait, nécessitait un labo noir et blanc. Et, donc, pas mal de travail manuel. Pas uniquement pour tirer les négatifs sur un papier positif mais également pour organiser son labo: vous aviez le choix entre tout acheter, ce qui fini par revenir cher, ou faire un minimum soi-même, ce qui avait l’ avantage non négligeable d’ avoir un labo à ma convenance.
Mais je m’ égare.
Il y a quelques années, presque vingt ans déjà, la photographie a basculé dans un domaine plus « intellectuel » avec les ordinateurs. Et l’ aspect manuel a fini par me manquer.
J’ ai d’ abord joué avec du bois, mais cela nécessitait un espace que je n’ ai pas.
Il y a de cela quelques années, j’ ai eu envie d’ apprendre à me servir des épées. Mais pas n’ importe lesquelles: celles du moyen âge, et celle de la renaissance, comme les mousquetaires. Ensuite, j’ ai eu besoin d’ un sac pour les transporter. Et, devinez quoi? J’ ai pensé « je vais en faire un … en cuir. J’ ai réussi à trouver un grand collet, chez un cordonnier bruxellois.
Ensuite, il m’ a fallu du temps avant de découvrir la tannerie Radermecker qui me fourni mes cuirs.
Depuis, vous pouvez voir sur ce site tout ce que j’ ai bricolé au fil du temps.

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